La voici la révélation de l’année… Wolfmother nous viens du pays des kangourous, et des chasseurs de crocodiles à mains nues. L’album (Wolfmother, tient comme le nom du groupe, c’est marrant çà…) est sorti l’automne dernier, mais il a mis du temps à percer, mais pour notre bonheur il arrive a point pour caresser nos oreilles. Musicalement…quoi dire ? Wolfmother réussie a condenser tout ce que l’on peut appeler rock… ça passe par nirvana, White stipes, led zepplin, black sabbath… et en plus c’est réussi… Wolfmother est un album à avoir et à écouter en boucle
A la base audioslave et un allstar band qui ne devait sortir qu’un seul album… Mais suit au succès du premier et du deuxième à décider de devenir un vrai groupe a part entière. Audioslave viens de la déformation de Rage against the machine, avec l’arrivé au chant de Chris Cornell. Pour faire cours (parce que trop long sa ne sert a rien) le dernier effort d’Audioslave Revelation sonne comme du vieux rock, un peu à la led zep avec des touches d’aujourd’hui. Mais à la longue le disque et les morceaux ce répètent un peu, et deviens vite lassant. Ceci dit a écouter en fond musical il passe plutôt bien. A écouter: One And The Same, Broken City, Wide Awake, Moth, Original Fire.
The Raconteurs est le nouveau projet du chanteur, guitariste et
pianiste des whites stripes, Jack White. Il est accompagné de trois
amis, issus de la scène rock de Détroit. Le groupe s'est formé après que Jack
White et Brendan Benson (l’autre guitariste) eurent composé leur première
chanson : Steady, As She Goes.
Leur premier album sort donc
en 2005 avec le titre far : « steady, as she goes » qui est très
accrocheur et sonne dans le style pop rock (la mode du moment ?) un peu a
la franz ferdinand. Le reste de l’album navigue entre plusieurs influences
comme les Led Zepplinsur
‘’Broken Boy Soldier’’, Deep
Purplesur ‘’Store BoughtBones’’,
avec aussi des passage a la red hot, rage…Mais en s’enchaînant bien, c’est donc
un disque parfait pour un fond musical, en restant au coin du feux entre amis.
Un "raconteur", en
français, c'est un homme qui raconte des histoires à des sourds.
En Australie, il existe déjà
un groupe utilisant le nom de The Raconteurs. Comme celui-ci demande
plusieurs millions de dollars pour céder son nom, les Raconteurs sont devenus
les Saboteurs en Australie.
Suite de la chronique à propos de Stone sour avec la sortie Lundi de leur dernier album : Come What(ever) May. A la différence de l'album précédant celui ci sonne plus Rock que Grunge, limite formaté pour la radio, mais en gardant l'esprit du début. Les mélodies sont accrocheuses, les riffs insisifs, le chant de Corey taylor et vraiment du chant avec quelques rares passages criés. En bref l'album sonne plus rock, et ne restera pas dans les mémoires, mais l'écoute et agréable. Pour en connaitre plus sur les morceau voici la page myspace
Cette fois je m’attaque à une chronique monumentale,
puisqu’il s’agit de KoRn…
On dira ce qu’on voudra mais si le métal, et le néo métal et
ce qu’il est, aujourd’hui, c’est surtout grâce à KoRn.
C’est en 1993 que l’histoire de Korn début grâce à James
“Munky” Shaffer (guitare), Brian “Head” Welch (guitare), Reginald “Fieldy
Snuts” Arvizu (basse) et David Silveria (batterie), viennent de sortir un album
avec leur groupe LAPD, rencontrent Jonathan
Davis, chanteur de Sexart et étudiant en médecine
légale. Le groupe demande alors à Davis de rejoindre leur groupe, ce qu’il
accepte, LAPD devient alors Korn, un an plus tard le groupe signe chez Epic pour
sortir son premier album éponyme.
Ils sortent donc Korn en 1994, et là c’est une
révélation. Première piste : Blind… LA chanson qui ouvre cet album laisse
sans voix. On découvre un son très lourd et puissant (guitare 7 cordes oblige),
une basse lourde et rapide, et la batterie qui claque. Ensuite la voie de
Jonathan Davis passe des cries au murmure sans rien perdrent d’intensité. Mais
Blind n’est que l’ouverture, la suite est de la même veine. On sent dans cet
album tous les démons du chanteur, son mal-être…On étant Davids avoir des spasmes
sur la dernière chanson. Comme quoi il s’est vraiment investi.
Voici un très bon groupe de punk hardcore qui vient de Californie,
comme quoi c’est possible…
A Fire Inside, plus communément appelé
AFI. Il commence dans les années ’90 en jouant au lycée,
mais peut de temps après, ils décident de se séparer pour un temps, à
cause de leurs études. Puis lors de vacances scolaires, le groupe se reforme le
temps d'un concert. Accueil on ne peut plus positif qui incite les membres du
groupe à se consacrer à plein temps à AFI. Ces
derniers signent alors avec Nitro Records, ils sortent 4 albums, mais reste
confidentiel. Et en 2003 ils signent chez Dreamworks Records ou ils sortent de
l’anonymat avec l’édition de sing the sorrow, et en 2006 avec december Underground.
Sing the sorrow et un album qui mélange la mélancolie et la
rage, chaque chanson donnent une vraie dimension à l’album. Des le premier
morceau, ou la batterie ouvre très fort, on sent la puissance, et elle ne fait
que s’amplifier. Le tout reste du punk, mais avec de vrais mélodies.
Quand a December Underground, c’est la suite logique, on
regrette qu’il y ai moins d’envolés lyriques, mais la tristesse et la rage sont
toujours là, et sa fait du bien…
Le Noyau Dur (ou LND) est le projet de Djag (ex crieur de Black Bomb A), à ne pas confondre avec le groupe de rap Noyau Dur qui n’a rien à voir. En effet le projet de Djad s’articule autour de métal/Fusion très année 90. Pour composé Renaissance, le premier album, Djab s’est entouré de ce qui se fesait de mieux sur la scène métal française, on peut donc y voir (et surtout entendre) entre autre des membres de Black Bomb A, de lofofora, LTNO, Call Us A You Wich, Loudblast, Sherkan… On pourrais croire donc a un all star band, comme ça se fait beaucoup aux état unis d’Amérique, mais il n’en est rien. Bien sur les musiciens sont bons, mais ils apportent vraiment leurs touches à chaque morceau. On navigue donc sur tout les courant du métal, du punk, du hardcore, de l’atmosphérique, et pourtant tous c’est style cohabite et s’enchaîne bien. Coté texte, ce sont des texte revendicatif, sans concession, et vont droit au but, se qui rappelle un peut le style de Tagada Jones. Donc en gros si vous aimez le style métal/fusion des 90’s a la lofo, c’est un album a découvrir.
Pour vous faire une idée du LND allez donc sur le site, et écouter un peut les morceaux, et vous pourrez même vous faire une idée de l’atmosphère avec le clip de miroir.
Stone Sour se forme en 1992 sur
l'initiative du chanteur Corey Taylor, le chanteur masqué de slipknot. Après de
changement de line up, des démos, et aussi le manque de temps (chanteur de
slipknot c’est du boulot quand même), Stone Sour sort un premier album éponyme
en
2002. A
la différence de son autre groupe, celui-ci verse dans le rock métal, avec des
touchettes de grunge. On peut s’apercevoir que Taylor sais aussi chanter.
A noter que c’est sur cet album que l’on trouve le sublime
Bother… titre mythique
Cela dit, a part cette chanson le reste de l’album et bien,
mais sans plus… le morceau se ressemble beaucoup et on en a vite fait le tour…
Dommage.
Pour
vous faire une idée : écouter le (en real player désolé)
Mais vous pouvez télécharger get inside en MP3 (clique
droit, enregistrer sous…)
The Mad Capusule Markets est un groupe Japonnais, il évolu lui dans un univers, punk; post punk déganté, et il se présente volontier comme le groupe "le plus agressif" du Japon. Composés de Takeshi Ueda (Basse), Kyono (chant) et Motokatsu Miyagami
(Batterie) se sont formés en 1990 et, fort de leurs 9 albums sortis au
Japon, sont devenus des stars sur l'archipel. Leur musique plutôt
brutale est extrêmement bien construite si bien que les comparer à Prodigy ne serait pas assez fort tant leur musique n'est punchy.
Avec 1990-1996 il délivre un un missile de folie
furieuse, aux textes courts chantés alternativement en japonais et en
anglais. Là où tous les poseurs de la côte ouest se croient obligés
d’avoir une "attitude" et de verser de plus en plus vers les déballages
sentimentaux en carton-pâte de skater débile, les Japs ne se posent
aucune question : ils font du boucan tant qu’ils le peuvent et ils
adorent ça ! Sa passe alégrement du punl californien, au métal, sans fioriture, tout et bien monter... C'est vraiment une vrais boufé d'air pure
Allez donc faire un tour sur leur site (en anglais, celui en japonnais, je ne comprend rien lol)
Suite à l'eurovision d'hier
soir, voilà une chronique de Lordi, grand vainqueur. (292 points pour la finlande, contre 5 pour la france...
Lordi qu’est ce que c’est ? Ce phénomène finlandais
est en fait une bande de pote qui jouent à se faire peur avec une dégaine pas
possible. Une sorte de mélange entre les comptes de la crypte et un grand
carnaval pour le look. Un mix entre alice cooper et kiss pour l’attitude et
également pour une grande partie la musique. Lordi s’est mis en tête de
remettre le shock rock à la mode avec une approche résolument moderne dans la
production : mur de son et petits bidouillages électros. Ils font peur quand on
les voit mais pas du tout quand on écoute leur musique. Celle ci est remplie de
bonne humeur et se prête merveilleusement bien à la fête entre métalleux sans
trahir la cause métal. Parce qu’il n’y a pas de doute, Lordi c’est bien du
métal, les guitares sont là pour le prouver : riffs incisifs et grosses
mélodies bien huilées même si le tout est très accessible. Accessible comme la
voix rocailleuse de l’affreux monstre chanteur qui contraste sévèrement avec
son apparence, et qui n’a rien à voir avec les hurlements death auxquels on
aurait pu s’attendre. Accessible comme ces chœurs qu’on peut hurler à gorge
déployée sur les refrains sans trop réfléchir. Accessible comme ces mélodies «
évidentes » mais toujours aussi efficaces.
Bref si vous avez aimé les 80’s, vous allez aimer Lordi